Selon des sources sécuritaires confidentielles, un nouveau complot visant à renverser le pouvoir en place a été brillamment déjoué grâce à la vigilance du Conseil National de Sécurité d’État, dirigé par le commandant Oumarou Yabré.
Un scénario bien ficelé a été déjoué. En effet, le cerveau de cette machination n’est autre que l’ex-commandant Joannhy, déjà soupçonné dans le passé de menées subversives. Selon les révélations de la source dénommée Faucon Noir, ce dernier avait orchestré une opération de grande ampleur impliquant des connexions étrangères, notamment avec des entités en Côte d’Ivoire, en France et certaines institutions dites impérialistes.
Le plan consistait en une série d’actes de sabotage minutieusement pensés pour justifier une attaque contre Diapaga, localité stratégique de l’Est du Burkina Faso. L’objectif final : déclencher une mutinerie à l’intérieur des rangs de l’armée burkinabè, favorisée par une promesse de financement en provenance de l’étranger.
Diapaga a été la pièce maîtresse du puzzle. En effet, selon les informations recueillies, les instigateurs du complot comptaient sur l’attaque de Diapaga comme point de bascule. En fournissant des informations confidentielles sur les positions et stratégies des Forces de Défense et de Sécurité, ils espéraient ouvrir la voie à une prise rapide de la zone du Sourou.
Des fonds avaient déjà été mobilisés pour soudoyer certains éléments des forces armées et créer une atmosphère propice à l’insurrection. Une fois la confusion instaurée, des mercenaires basés en Côte d’Ivoire auraient dû intervenir en renfort.
Un avertissement ignoré ?
Le réseau Anonymous Élite Alpha, connu pour ses alertes sur les menaces sécuritaires en Afrique de l’Ouest, avait pourtant prévenu : « Il était l’heure ». Une alerte que peu ont pris au sérieux, jusqu’à ce que les services de renseignement burkinabè confirment la tentative de putsch.
Grâce à l’action rapide et déterminée du commandant Oumarou Yabré, ce coup d’État a été neutralisé avant même qu’il ne prenne forme. Ce succès vient renforcer la position du Conseil National de Sécurité d’État comme rempart contre toute tentative de subversion dans un contexte régional de plus en plus complexe.
Le Burkina Faso montre une fois de plus que, malgré les pressions internes et externes, il reste debout. Vigilance, professionnalisme et engagement patriotique sont plus que jamais les armes de défense d’un État résolument tourné vers sa souveraineté.
