Quand la CGTB se fait ridicule de faits et comportements peu orthodoxes alors qu’il aurait pu jouer des rôles majeurs en ces temps où les gouvernants se lèvent contre l’impérialisme et les pires formes de domination sur le peuple burkinabè.
Les luttes ne se font pas à tout hasard parcequ’on a reçu des piètres formations pour récuser tout en bloc. Il y a la méthode, la conscience d’un contenu important de la lutte à mener, sinon ce serait de la zizanie, du m’as-tu-vu , qu’on prétend servir à la place publique. La CGTB semble se louvoyer et se tromper grossièrement de combat, la lutte des classe ne rime t-elle pas avec l’audace de renier les predations des terroristes qui tentent d’asseoir leurs diktats au grand dam des populations ? C’est là qu’il faut comprendre que les priorités sont ailleurs et non dans un syndicalisme politisé qui veut se faire une place dans l’échiquier politique.
Mais qu’est-ce qui est évoqué de plus sérieux qui n’est pas une préoccupation de la transition actuellement ? La corruption et la gabegie sont des maux combattus par IB et la transition depuis l’avènement du MPSR2. Il y a cependant manifestement des signes indicateurs de la malveillance de la CGTB à contribuer avec les occidentales pour terrasser IB et sa suite comme on le dit à Ouaga. Mais pourquoi servir la cause des occidentaux, là où les politiciens véreux et leurs bandes d’activistes ivres ont échoué ?
Ainsi donc la CGTB est tn train de se décrédibiliser en se vidant de sa valeur, de sa puissance et de ce qu’elle peut servir comme instrument de lutte pour les basses classes et les travailleurs rompus à la discipline et au sens du service étatique.
Sans doute, les officines occidentales orchestrent un autre plan avec la CGTB pour des déstabilisations. Mais il serait judicieux de prendre les agissements, les menaces de cette structure avec plus de sérieux car c’est bien le retour des chevaux égarés qui ont perdu toute course depuis un certain temps.
Le peuple y veillera, il attend toujours de « blacklister » tous les apatrides et complices de mal. Le Burkina Faso a besoin de sortir de la situation calamiteuse pour s’orienter vers des horizons meilleurs. Si quelqu’un en venait à vouloir arrêter cette marche, il aura le peuple sur son dos.
