« Aujourd’hui, nous avons des groupes armés terroristes qui ont juré la perte du Burkina Faso en s’attaquant aux symboles de l’Etat, à nos citoyens innocents qui ne demandent qu’à vivre paisiblement dans leurs contrées.
Aujourd’hui, si un journaliste ou un média, dans l’offensive générale qui est lancée pour la reconquête de notre territoire, estime qu’au nom de la pratique journalistique, il a le devoir d’être objectif en se mettant à équidistance entre notre pays, entre les forces armées nationales et les groupes armés terroristes, je pense que c’est son interprétation.
𝐌𝐚𝐢𝐬 𝐧𝐨𝐮𝐬 𝐞𝐬𝐭𝐢𝐦𝐨𝐧𝐬 𝐚𝐮𝐣𝐨𝐮𝐫𝐝’𝐡𝐮𝐢 𝐪𝐮’𝐢𝐥 𝐧’𝐲 𝐚 𝐩𝐚𝐬 𝐝𝐞 𝐩𝐨𝐬𝐢𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐦é𝐝𝐢𝐚𝐧𝐞 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐜𝐞𝐭𝐭𝐞 𝐠𝐮𝐞𝐫𝐫𝐞 𝐪𝐮𝐢 𝐞𝐬𝐭 𝐞𝐧𝐠𝐚𝐠é𝐞. »
Aujourd’hui, il s’agit d’une chose :𝐬𝐨𝐮𝐭𝐞𝐧𝐢𝐫 𝐥’𝐨𝐟𝐟𝐞𝐧𝐬𝐢𝐯𝐞 𝐝𝐞 𝐫𝐞𝐜𝐨𝐧𝐪𝐮ê𝐭𝐞 𝐝𝐞 𝐧𝐨𝐭𝐫𝐞 𝐭𝐞𝐫𝐫𝐢𝐭𝐨𝐢𝐫𝐞. »
Jean Emmanuel Ouédraogo, porte-parole du gouvernement
