À Tougan dans le Sourou, les femmes PDI ont refusé de vivre la misère liée à leur situation de déplacées internes. Elles prennent sur elles l’initiative privée de travailler la terre afin qu’elle éclore des dividendes pour elles.

En effet, elles s’adonnent à la maraichéculture où elles s’en sortent mieux. Ces braves mères mènent des activités porteuses d’espoir pour leurs familles respectives. N’est-ce pas une bonne manière de dire non à la précarité de la situation actuelle ?
D’ici peu, ces terres produiront à suffisance des tomates, des choux, de la salade, des oignons, des aubergines, du piment…
Bravo à nos Amazones de la résilience .